Alice Liebërt

I - IDENTITÉ

• Prénom(s) & Nom : Alice Eileen Liebërt (néanmoins elle a tendance à renier l'époque où on l'appellait encore Eileen, son état civil ne comporte donc qu’un nom et un prénom)
• Surnom : Les seuls qu’on lui donnent sont soeurette, Lumière dans l’esprit de son dragon qui considère qu’Alice et un mot comme un autre et pas un nom et Lilice pour ses proches amis, la jeune fille n’incitant à la sympathie. Pourtant, elle ne contestera pas des surnoms donnés par ses amis, à supposer qu’elle s’en fasse
• Age : Bientôt seize ans
• Race : Descendant d’une longue lignée de Phoenix de part son géniteur, elle doit le sang humain qui coule dans ses veines à celle qui l’as mise au monde
• Classe : Seconde année, étant surdouée elle a demandé à sauter une classe
• Elément : Lumière ascendant feu (son pouvoir dépend donc principalement du soleil)
• Maison Souhaitée : Préfète des Niar
• Rang souhaité : Celui que j’ai me satisfait amplement [Mirci Himi!]


II - HISTOIRE

Développée dans un autre post!

III - CARACTÈRE

• Caractère Général : Froide, impitoyable et manipulatrice sont sans doute les mots qui désignent le mieux Alice. La vie lui a appris que se montrer gentille ne lui apportait que de la peine et il semblerait qu’elle ait bien retenu la leçon. Désormais, ses intérêts passent avant tout et elle ne cherche plus à lier le contact avec les autres, toutefois sa vie lui importe relativement peu. Alice a tendance à s’enfermer dans sa bulle et cela lui convient très bien. Chacun pour soi semble être devenu l’une de ses devises. A la voir si discrète, on pourrait penser qu’elle se sent mal dans sa peau. En réalité, elle n’éprouve guère de remords pour sa vie d’avant et assume parfaitement son apparence. Très mature, Alice porte un regard quelque peu défaitiste sur le monde, il lui arrive de faire preuve d’une clairvoyance étonnante concernant les sentiments des autres tandis qu’elle a du mal à juger les siens.
Si la schizophrénie ne se caractérisait pas pour une double personnalité doublée d’une perte de contact avec la réalité, alors notre blondinette serait schizophrène. Car Alice possède en effet une double personnalité. Il y a d’abord de côté rationnel et hypocrite, mais il n’est que là que dans le but de camoufler la sensibilité de la jeune fille. Les apparences sont trompeuses, et elle se montre bien plus humaine qu’elle ne cherche à le faire croire par ses principes égoïstes et son ambition. Alice se fait rarement des amis, mais quand elle s’en fait ces liens traversent les épreuves sans difficultés. Pour ses trop rares amis, elle risquerait sa vie sans l’ombre d’une hésitation. Mais pour cela, il faudrait qu’elle arrive à s’en faire. Très, voir trop sensible, elle se cache sous un masque de dureté sans lequel elle aurait tendance à bien trop s’émouvoir. Sa fierté l’empêchera de le reconnaître, mais elle a la larme facile. De peur d’être déçue, elle noue difficilement des liens et la solitude est un sentiment qu’elle ne connaît que trop bien.
Mal à l’aise en société, Alice préfère cacher sa sensibilité sous un masque de sarcasmes qui lui colle à la peau. Quoiqu’il arrive, elle ne cache ses émotions. Au diable le naturel, le principal est que les apparences soient sauves !
Asociale, elle parle rarement à ceux qui ne font pas partie de son centre d’amis si cela ne sert pas ses intérêts. Toutefois puisqu’il est préférable d’avoir des amis plutôt que des ennemis, elle fait l’effort d’être aimable en société. Du moins de le paraître. Ses pensées ne regardent qu’elle, ce qui tombe bien car elles sont généralement désagréables.
• Ce qu'il/elle n'aime pas : La solitude, qu’on parle de sa famille ou de son passé, qu’on la juge sans la connaître, les petits complexes qu’il lui arrive d’avoir sans raison logique, l’absence de lumière, les grandes étendues d’eau car elle ne sait pas nager, la claustrophobie dont elle souffre à cause de son pouvoir (nécessairement, s’il y a de la lumière elle peut surmonter la détention, d’autant plus que s’il y a de la lumière il y a forcément une issue)
• Ce qu'il/elle aime : Ses amis (quand elle arrive à s’en faire), jouer d’un instrument de musique, chanter mais cela fait longtemps qu’elle n’as pris le temps de pousser la chansonnette, les valses et autres danses à deux, enfreindre des règles, la magie et l’escrime, le dessin (plus particulièrement les paysages et les portraits mais les modèles sont durs à trouver à Maelthra Magthere), l'alcool, marcher
• Qualités : Loyale, attentionnée, observatrice, curieuse, sensible bien qu’elle s’efforce de le cacher, calme
• Défauts : Asociale, manipulatrice, hypocrite, opportuniste et la liste serait bien longue
• Tic : Se ronger les ongles, faire tourner sa dague ou un stylo



IV - PHYSIQUE

• Physique Général : Contrairement à bien des adolescentes de son âge, Alice assume parfaitement son physique. Et pour cause, grande, élancée notre blondinette a tout pour attirer les regards. Si elle n’avait pas une si mauvaise opinion d’elle-même, la jeune fille aurait une « légère » tendance à l’égocentrisme. Mais revenons-en à son physique. Un visage fin entouré de cheveux blonds, contribuant à lui conférer un air angélique qui ressort tout particulièrement lorsqu’elle fait l’effort de sourire. Un nez fin, presque effacé par ses yeux souvent dépareillés où scintille une étincelle de tristesse, étoile déchue de l’innocence qui y brillait auparavant. Alice n’est pas très souriante, elle semble toujours perdue dans de lointaines pensées. Son prénom originel ne signifie-t-il pas « rêve » après tout ?
Sa silhouette élancée toute en courbes gracieuses lui confère une élégance naturelle, mais sa démarche y est sans doute pour quelque chose. Un pas aérien que l’on prêterait plus à une danseuse qu’une ancienne meurtrière caractérise ses déplacements. Ce qui d’ailleurs l’arrange bien, elle n’as pas une assez bonne opinion d’elle-même. Les compliments la mettent souvent mal à l’aise, elle considère qu’elle est la seule à pouvoir juger de son apparence. Et pour cause, elle n’est pas habituée à ce qu’on lui accorde beaucoup d’attention, elle a fini par s’y habituer.
Bien qu’elle prenne soin de son apparence, ses ongles sont bien souvent rongés. Non pas qu’elle soit du genre à s’inquiéter, en fait, il arrive parfois de se demander si elle possède un instinct de survie ou si la présence d’une quelconque bonne étoile zélée lui a permis de survivre jusque là. Simplement qu’elle s’ennuie souvent. Malgré la perte de ses souvenirs datant de l’époque antérieure à ses dix ans, elle a vécu une vie plutôt riche en émotions.
Depuis sa régénération, Alice en est revenue à une apparence plus féminine, principalement par la longueur de ses cheveux qui retombent de nouveau sur ses épaules, elle les avait fait couper à la garçonne avant d’entrer ici. En parlant de ses cheveux, on peut dire qu’elle en prend soin. Ayant découvert que le cuir chevelu réagissait mieux à la chaleur, elle utilise l’ascendant de son élément quand elle souhaite se faire des anglaises en enroulant les mèches de cheveux autour de ses doigts, ou pour les lisser.
• Signe Particulier : Souffre d'un défaut de pigmentation, il n'est pas rare que ses yeux changent de couleur selon son humeur s'ils ne le font pas tout seuls à une fréquence assez rapide, en général quand elle est stressée, leur teinte la plus commune est l’un des deux rubis, l’autre saphir. Change volontairement d'apparence quand elle renaît de ses cendres.
• Vêtements : Alice prône l'élégance sans se départir de la simplicité et d'une touche de fantaisie. Si elle porte aussi bien jupes que pantalons, tout dépend de son humeur.
• Taille : 1 m 69
• Poids : 53 kilos (mais il lui arrive de tomber en anorexie lorsqu'elle déprime)

V - PRESENTATION DU DRAGON

• Nom : Cyriac
• Physique : Cyriac est ce qu’on peut appeler un beau dragon. Légèrement plus petit que ses congénères, il n’en reste pas moins élégant, de cette grâce brutale qui caractérise les dragons. Ses écailles d’albâtre et d’ivoires luisent avec magnificence au soleil, de même que ses crocs bien aiguisés. Son museau fin et son regard luminescent s’accordent à la perfection sur son museau effilé.
Dures comme le diamant dont elles ont la brillance, ses écailles reflètent le soleil, mais n’en restent pas moins une excellente protection contre n’importe quel danger. Mais ce qui choque le plus, ce sont ses ailes. De magnifiques ailes dont le dégradé va parfois jusqu’au noir profond, alors qu’elle sont souvent blanches. Cyriac mue souvent, de la manière d’un serpent mais en beaucoup plus gros, et quand il n’arrive pas à se défaire de la peau dont il se débarrasse, il lui est facile de compter sur Alice, même s’il fait une bonne trentaine de fois sa taille, enfin, la fera une fois adulte car pour l’instant, il est moins impressionnant.
Une longue ligne de piquants parcoure sa tête et descend jusqu’à l’extrémité de sa queue, en devenant plus grosses au niveau de son dos artistiquement voûté d’une courbe délicate. Ses piques sont tranchantes et effilées comme des lames de rasoir, mais leur largeur est étonnement douce, de même que l'ensemble de ses écailles qu'on croiraient polies.
• Caractère : : Comment décrire le caractère d’un être qui se laisse trop rarement approcher ? Cyriac n’est pas un dragon particulièrement sociable, pour être honnête disons qu’il préfère vivre en marge de la société, qu’il s’agisse de ses congénères comme des races humanoïdes. Bien sûr, il laisse « Lumière » (surnom d’Alice) s’approcher. Avec le temps, il s’est habitué à sa présence et attaché à elle, suffisamment pour se montrer possessif si d’autres dragons l’approchent. Elle est sans doute l’être qu’il connaît le mieux, bien avant ses congénères. Bien qu’il ne puisse lui parler, il commence désormais à mieux la comprendre. Et plus il en sait, plus il veut en savoir sur elle et les autres êtres de Maelthra Magthere. Pour la plupart, ses congénères lui semblent inintéressants, se rapprochant plus des rivaux potentiels que des amis. En revanche, les êtres humanoïdes le fascinent. Depuis sa naissance, il passe bien du temps à les observer et chercher à décrypter leur comportement. Il n’était pas rare de le voir suivre des élèves ou des professeurs lorsqu’il était plus petit. A la manière d’un chat, il s’allongeait pattes sous son corps parfois pour observer les érudits de l’école, une fascination dans le regard. Comme un félin est attiré par un objet qu’on agite au dessus de sa tête, Cyriac est attiré par les êtres qui s’agitent autour de lui.
Ce qui ne veut pas dire qu’il en fait de même. Bien loin d’aimer l’action, il ne bouge que lorsqu’il en a envie et ne déploie de l’énergie que dans le but de voyager. Néanmoins, son environnement reste limité entre la volière et les jardins.
Mais cela ne l’empêche pas de partir à la conquête du monde, pardon, des moindres recoins de l’académie. Sans doute Alice a-t-elle une bien mauvaise influence sur lui car Cyriac déploie un talent prodigieux à s’attirer seul des ennuis et enfreindre un maximum de règles. On ne peut pas lui reprocher, il est encore jeune et a bien compris que sa petite taille, du moins pour l’instant, était un bon moyen pour s’introduire là où il le souhaite. Cette envie de voyage caractérisée par une fouille minutieuse de l’école peut paraître attachant au début, elle l’est moins quand il s’amuse à surprendre les gens. Cependant, il lui suffit d’adopter un regard larmoyant en penchant la tête sur le côté pour qu’on s’attendrisse sur son cas et oublie de le punir. Il faut lui reconnaître cela, il a bien compris qu’il ne serait petit et adorable qu’un certain temps et s’en sert donc tant que c’est encore possible. Quand il n’aura plus la taille d’un gros chat, il lui sera plus difficile d’explorer son environnement. Mais pour l’instant, il prend chaque porte ouverte comme une invitation.
S’il n’était pas si curieux, Cyriac serait un dragon profondément renfermé sur lui-même, à l’image d’Alice lorsqu’elle a fait ses premiers pas ici. Tant que ses congénères ne peuvent rien lui apporter, il hésite à leur parler. Il répondra aimablement si l’on engage la conversation avec lui, mais à choisir il préfère éviter le premier pas. Ce comportement ne lui attire ni amis, ni ennemis et cet état de fit le satisfait. Il préfère bien souvent observer minutieusement ce qui se passe autour de lui avant de se décider à agir. Il ne se considère pas comme calculateur, simplement prudent.
Et cette prudence vire parfois à la paranoïa. Après avoir vu Lumière jouer avec des objets coupants et avoir essayé à son tour de faire tourner un poignard entre ses pattes, ce qui se solda par une rencontre avec le professeur de magie curative, Cyriac demeure quelque peu méfiant vis-à-vis de ses sujets d’études préférés que sont les humains.

• Signes Particuliers : Il crache des projectiles lumineux et préfère se laisser planer pour admirer le paysage et vérifier s'il ne perd aucun passager.


VII - AUTRES

• Quelques attaques de magie : • Quelques attaques de magie : Puisant son énergie dans la lumière (principalement solaire, les bougies n’étant pas d’une efficacité), Alice peut lancer toutes sortes de projectiles de lumière sphériques. Mais, comme tout bon Phoenix, elle peut utiliser son Aura dans les combats. Les êtres les plus avancés de sa race sont capables de déporter leur Aura sur une zone précise de leur corps et encaisser un coup sans problèmes tout en gardant une légère protection pour le reste de leur personne. La jeune fille ayant du sang humain dans les veines, son pouvoir n’est pas suffisamment avancé pour qu’elle puisse garder une protection, son Aura peut donc se déporter mais le reste sera à découvert tant qu’elle maintiendra à un endroit précis. Mis à part cela, Alice utilise assez facilement l’ascendant de la lumière, le feu. Mais maîtrisant mal cet élément lié à des mauvais souvenirs, elle ne s’en sert que pour augmenter la température de son corps, déjà élevée par sa condition de Phoenix.

• Objets en sa possession : Quelques livres, beaucoup de vêtements, pas mal de produits de beauté et une collection d'armes tranchantes de petit gabarit. Egalement un violon et son journal intime qu'elle garde scellé par magie.
• Animaux de compagnie : Edward, dit « Ed » petit djiin aérien

[color=#9097FF] [b]• Autre : sujette à des transes et des crises d’angoisse

VIII - HORS PERSONNAGE

• CODE du Règlement : OK
• Comment trouvez-vous le Design ? : Toujours sublime!
• Comment avez-vous connu le Forum ? : En cliquant sur "dragon" parmi les mots les plus recherchés de forumactif

II - HISTOIRE

• Histoire Générale : (30 lignes minimum) On raconte qu'il y a des gens chanceux, nés sous une bonne étoilé. Dites ça à Alice et il est possible que vous vous receviez une Luce sans sommations.
D'abord, parce qu'elle est née en plein ouragan, à l'intérieur d'une maison certes, mais plutôt modeste. Remarquez, elle a eu la chance d'être bien couverte dès le début. Elle fut immédiatement placée dans le même berceau que Yohann, rendant leur relation un peu plus fusionnelle. Car Yohann et Alice, Nina de son prénom de baptême, sont de vrais jumeaux, ce qui explique cette tendance qu’ils ont à deviner ou prendre le contrôle des mouvements de l’autre, ce qui ne dure pas longtemps. Ils grandirent dans la ville des alchimistes, en compagnie de leur mère jusqu’à leurs neuf ans. Pendant cette période, ils flânèrent beaucoup en ville, allèrent suffisamment voir des prêtres pour connaître les rudiments de la magie. Yohann pencha pour la magie, à la couleur violette qu’il appréciait assez, Nina fut fascinée par les lueurs ocre et immaculées de la magie blanche.
Ils eurent à peine le temps d’apprendre les principes de base que leur mère mourut. Elle ne s’occupait pas beaucoup d’eux, ils prirent conscience qu’il ne la connaissait pas vraiment. De même que leur père qu’ils n’avaient jamais rencontré. En fait, ils ne pouvaient compter que l’un sur l’autre.
On les plaça dans un foyer d’accueil. Des classes de lectures étaient organisées, c’était bien le seul programme normal.
La « villa des Roses » n’était pas un foyer comme les autres, le niveau des programmes que suivaient les autres enfants ainsi que nos petits jumeaux était bien trop élevé pour leur âge. Pourtant, tous arrivaient à suivre. Ces enfants n’étaient pas comme les autres, et c’était bien la raison qui avait poussé les professeurs à les recueillir.
Nina, car c’était encore son nom, finissait par s’attacher à ce foyer, Yohann et elle y étaient ensemble ils ne lui fallait rien de plus. E t comme son frère, elle appréciait les classes de lecture, sans se douter qu’elles servaient uniquement à façonner d’une autre manière leur personnalité, qui devenait plus violente, plus prompte à commettre des crimes. Les classes de lectures n’avaient pour but que de rendre les enfants psychologiquement instables. Le programme était simple, une fois qu’ils seraient devenus adultes, ils seraient de brillants généraux ou politiciens. C’était du moins ce que pensaient le fondateur de la villa des Roses et les professeurs qui s’étaient lancés dans cette entreprise déontologiquement méprisable.
Mais changer la nature peut parfois être une grave erreur. Les enfants devenaient trop intelligents. Un soir d’orage, une bagarre éclata entre élèves et professeurs, on ne sut pas qui l’avait commencée, mais elle toucha tout le monde car la totalité des résidents de la villa des Roses se trouvait au réfectoire. Nina vit Yohann sortir précipitamment, passant entre élèves et professeurs, d’ailleurs la plupart d’entre eux étaient munis d’une arme blanche. Nina remarqua que le doyen n’était pas dans la salle, puis elle s’enfuit sans demander son reste.
Elle chercha un endroit où se cacher et son instinct la poussa à opter pour un placard. Certes, elle devait rester courbée, mais personne n’eut l’idée de l’y chercher, du moins le pensait elle. Elle resta plusieurs heures recroquevillée sur elle-même, tête sur les genoux à réfléchir à tout ça. Elle ne comprenait pas que quelque chose comme ça ait pu arriver. Tout se passait bien, Yohann et elle étaient les meilleurs élèves mais les autres n‘en étaient pas jaloux. Alors pourquoi ?
Puis, la porte du placard s’ouvrit, deux autres enfants visiblement rescapés virent se cacher. Parlant à voix basse, ils passèrent une partie de la nuit à essayer de penser à autre chose que le massacre. Finalement, l’un de deux garçons proposa d’aller voir dehors. Nina et l’autre acquiescèrent. Le garçon ne revint pas, il les avait laissé.
Vexée, Nina comprit qu’à l’heure qu’il était, il mangeait sûrement un repas chaud, pourtant quelque chose la poussa à ne pas sortir. L’autre garçon le fit à sa place, lui non plus ne revint pas. Elle voulut sortir mais n’y arriva pas. C’était comme si quelque chose la retenait, elle finit par se dire qu’il lui fallait attendre Yohann.
La porte s’ouvrit de nouveau. Cette fois, c’était bien son frère. Il lui tendit la main pour l’aider à sortir et se relever. Il se contenta de lui dire « Viens » et aussitôt, elle obtempéra. Ils traversèrent un couloir. Nina remarqua que la porte du bureau du doyen, habituellement ouverte était fermée. Puis ils durent traverser le réfectoire pour sortir. Nina essaya de se concentrer sur autre chose que les corps, en vain. L’image de tous ces gens qui s’étaient entretués lui donna la nausée.
Yohann la tira un peu et ils sortirent. La haie de roses qui donnait son nom à la villa semblait plus terne que d’habitude. Yohann lâcha la main de sa sœur et se faufila entre les roses. Nina resta l, trop choquée pour réagir. Après plusieurs heures dans le noir, la lumière lui faisait mal aux yeux et elle n’arrivait pas à réagir. Finalement, c’est cette intuition qui la poussa à traverser à son tour les roses pour atteindre l’endroit où le mur d’enceinte était le moins élevé. En passant, elle se piqua à l’épine du rose, la douleur fut l’un des souvenirs qu’elle conserva, cette épine était mouillée.
Puis, mue par cette intuition étrange, elle se rendit dans son ancienne maison, du temps où sa mère était de ce monde. Durant, trois jours, elle attendit Yohann en lisant et relisant « le monstre sans nom » seul souvenir de la villa des Roses qui, étrangement se trouvait dans leur maison. Au troisième jour, après qu’elle ait lu pour la quatrième fois son livre, elle se leva de la table où elle était assise et se dirigea vers la porte…
…qui s’ouvrit à ce moment-là, laissant apparaître Yohann.
« Je t’attendait » lui dit-elle en souriant, s’en suivit une conversation assez chaotique. Yohann semblant avoir des remords de ce qu’il avait fait, organiser le désastre de la villa des Roses en manipulant ses pensionnaires. Sur, ce Yohann demanda à sa sœur de le tuer. Pour y arriver, il dut la manipuler, et après quelques minutes de beaux discours, il obtint qu’elle lui lance une Luce.
C’est en voyant son frère tomber à terre que Nina fut traumatisée pour de bon cette fois. Contrairement à ce qu’elle eut le temps de croire avant de tourner de l’oeil, son frère n’était pas mort. Comme tous les phoenix, Yohann était protégé par cette espèce d’Aura qui permettait à son corps de régénérer en moins de deux, ou renaître de ses cendres s’il venait à mourir. Il se réveilla peu de temps après, avant Nina.
Décidant qu’il valait mieux qu’elle oublies cette tentative, il la porta sur son dos jusqu’à une clairière, une fois là-bas, il la déposa délicatement sur le sol. Puis, il posa à côté d’elle « le monstre sans nom » devinant que cet objet pourrait être utile pour la suite, et il attacha au poignet gauche de sa jumelle une petite gourmette qu’il avait fait fabriquer quelques temps auparavant. Cette gourmette portait sobrement l’inscription « Alice Liebërt » car Yohann souhaitait qu’elle garde une chance de le retrouver, tout en espérant le contraire pour son bien : quand on vous disait qu’il avait une personnalité trouble.
Quand Nina, ou plutôt Alice se réveilla, elle ne trouva personne près d’elle, juste un petit bracelet à son poignet et un livre. Quand elle l’eut l’inscription sur le bracelet, elle sut qu’il s’agissait de son nom, de même qu’elle sut qu’elle connaissait l’histoire du livre. Malgré le traumatisme, elle gardait en mémoire certains faits. Puis elle se leva et se dirigea vers la première ville qu’elle pourrait trouver, fort heureusement pour sa santé mentale qui s’en serait retrouvée compromise, ce n’était pas la ville où elle avait jusque lors vécu. Elle vola quelques affaires et passa sa vie en voyageant. Quand elle eut douze ans, du moins à peu près, elle s’engagea dans une guilde où elle devint tueuse à gages. Etrangement, elle savait déjà ce qu’il fallait faire pour tuer quelqu’un. Puis, elle en eut assez de tuer des gens pour obtenir un peu d’argent, alors elle partit en pleine nuit. Elle marcha jusqu’à arriver à la ville de son enfance. Elle obliqua à travers les rues, et retrouva la maison de son enfance, Yohann l’y attendait. Ce fut à son tour de déclarer « Je t’attendais » avec un sourire. Mais Nina compris qui il était.
Aussitôt, elle lui envoya plusieurs Luce. Yohann les contra et lui envoya une balle de lumière noire. Nina vit avec stupeur ses cellules se régénérer après la blessure. Puis elle s’évanouit, Yohann l’emmena ailleurs. Une ville cosmopolite où elle devint l’assistante d’un magicien après s’être coupée les cheveux pour « changer de tête ». Content d’avoir quelqu’un pour l’aider, il l’aida à améliorer ses connaissances magiques et lui apprit le solfège, chose que Nina désirait depuis longtemps connaître. Il alla même jusqu’à lui offrir un violon. N’ayant pas d’enfants, ce magicien à la retraite la considérait comme sa fille. Il adressa même une lettre de recommandation pour elle au cas où il ne serait plus là. Il fut assassiné après une nuit où elle fut en transe suite à une lettre de Yohann. Prenant l’argent et les quelques affaires qu’il lui avait laissées, elle saisit la lettre, la plaça dans son sac et prit son violon. Puis, elle partit à pied, son sac et son étui à violon sur le dos, vers l’école de magie où elle espérait entrer pour atteindre le niveau de magie pour tuer son jumeau diabolique.

• Famille : morts, sauf son père qu’elle ne connaît pas et surtout son frère jumeau Yohann.
Physiquement, Yohann lui ressemble beaucoup, côté psychologique, il se montre très diplomate envers les gens qu'il en vient à cotôyer et cache toujours ses véritables intentions. En revanche, il se montre tèrs gentil et protecteur envers sa soeur, du moins, il le sera quand il l'aura retrouvée car elle l'est la personne à laquelle il tient le plus au monde.

Voilà! Ma fiche est finie! Est-elle correcte? wahou, j'emploies de ces tournures de phrases...O.O

Très jolie présentation Miss Liebërt.

Hmmm.. je n'attends pas l'avis des autres fondateurs, pour te dire que je suis sûr que tu feras une jolie petite Niar ^__^

Bienvenue à Toi^^

Ah oui! Niar, sans aucun doute! Bienvenue mon enfant!
C'est la maison des gagnants! *ZBAF*

Chouette, je suis validée!^^

Bon, je vais faire le truc des liens de parenté, je veux qu'il y ait un Johann! ce sera vraiment une aubaine pour vous autres fondateurs, deux tarés pour le prix d'un...ahlala, bande de petits veinards!

Au fait, je suis seule chez les Niar, n'est-ce pas? oh! C'est le truc le plus facile à écrire parmi les quatre maisons, ah bah chouette alors!

bah oui tu es seule, m'enfin, pour le moment^^

Naon>< Vous n'êes pas les gagnants! ce sont les KIAH'L XD

Je suis tout à fait d'accord pour les Niar ! Vous avez raison !
Juste un petit truc... Ton dragon s'appelle Alexander c'est bien ça ?
car un des personnage s'appelle Alexander, mais si ça ne vous dérange pas c'est sans problème pour moi !
Bravo pour ta magnifiuque présentation !

Bah, si ça gênes le menbre, je chagerais, mais comme j'ai pas d'inspi je laisse ça pour l'instant, sauf avis contraire bien évidemment!

J'aimerais simplement que ton avatar fasse dans les 165p de largeur, merci! x)

De quoi? Le 165p de largeur? Mais c'est écrit! ^^

Autant pour moi! Vu qu'il y plein de truc pour les règles, j'avais été regarder à "avatars" donc je pensais qu'il m'aurait fallu relire les règles pour vérifier la taille!^^"

Et je suis en train de me mettre à l'avatar.

Pas de problème !
N'oublie pas de compléter la fiche de ton Dragon.

Voilà! C'est un peu plus haut que les autres, mais ça suffira le temps que je trouve l'inspi de faire un tout beau, tout joli truc!

Et je m'occupes du dragon!

Mdr !

Regarde ce que j'ai trouvé.... XD