Fëlicia Calmkacil

I - IDENTITÉ

• Prénom(s) & Nom : Fëlicia Calmkacil
• Surnom : A vous de lui en trouver ^^
• Age : 17 ans
• Race : Humaine
• Classe : 1ère année
• Elément : Illusion
• Maison Souhaitée : Elwing

II - HISTOIRE

• Histoire Général :

Il y a des histoires qui ne sont pas spécialement drôles, d’autres qui nous ferrais pleurer toutes les larmes de notre corps et d’autres encore, qui sont là pour nous faire sourire lorsque nous sommes tristes. L’histoire que je vais vous raconter ce situe sans doute entre ses trois thèmes. Non, cela n’a rien de joyeux, d’heure ou d’agréable à entendre. Si vous vous attendez à lire l’histoire d’un petit elfe amical et heureux, vaquant à ses futiles occupations, alors, passez votre chemin …

Commencer par « il était une fois » serait une grossière erreur. Le début n’a pas à introduire les mentions d’un conte quelconque. Au contraire, ce serait une histoire presque banale. Ainsi, je commencerais simplement par vous dire que l’objet de notre histoire se trouve être une fillette à peine née, qui pleurait déjà toutes les larmes de son corps, ayant été arrachée de force à la cavité ventrale de sa mère, quittant la chaleur intérieur, pour faire sa première venue sur Terre, comme nous l’appelons. Moment de bonheur qui allait durer quelques temps, mais certainement pas toute une vie. Les parents, fiers de leur progéniture, rayonnaient de bonheur. Fëlicia, ainsi se nommerait le nourrisson, certainement en rapport avec la langue du village. Cela dit, aujourd’hui même, la fillette ignore ce que veut dire son prénom. La légende de son village veut qu’un être ne découvre la signification de son nom seulement lorsqu’il en sera apte, pas avant.

Les années passèrent, lentement, régulièrement, comme l’eau coulant d’un ruisseau paisible. Fëlicia grandit heureuse. Elle n’avait pas à se plaindre de sa famille. Fille unique, elle n’était pourtant pas privilégiée, elle avait simplement plus d’attention. Cela dit, ses parents étaient guérisseurs de leur village, ainsi, ils n’avaient pas énormément de temps à consacrer à leur fille, bien que celle-ci restait toujours avec eux, ils avaient tendance à oublier sa présence, parfois. Comme vous pouvez le constater, même à 3 ans, la petiote était déjà discrète, presque effacée. Beaucoup d’enfants auraient été vexés de l’attention que ses parents portaient à des étrangers, ou des connaissances, pas Fëlicia. Allez savoir pourquoi, c’est très certainement quelque chose de totalement inexplicable.

*** *** ***

« Maman, maman, reste encore un peu ! » minauda la fillette de 5 ans.

Karlën hésita un instant, pas bien longtemps, ne pouvant résister à la bouille d’ange de sa fille, assise dans son petit lit. Alors, la femme s’approcha de nouveau et, sous la demande pesante de son enfant, décida de lui octroyer une histoire supplémentaire afin que la petite s’endorme sans peine. D’une voix douce, enchantée, elle commença donc un récit qu’elle venait d’inventer au moment même :

« Tu sais, Fëlicia, nous ne sommes pas les seuls être au monde. Il en existe d’autres, d’innombrables sortes. Mais c’est un secret que ma maman m’avait confié, avant moi. Tu ne dois le révéler à personne, sauf à ta fille, ou ton fils, quand tu auras des enfants, tu comprends ? Je ne l’ai pas révélé non plus, alors, tu dois faire comme ta maman et garder toutes ses précieuses informations dans ton petit esprit … »

« Oui, maman, je sais tout ça, tu me le répète chaque soir. Allez, allez, je voudrais une histoire ! C’est promis, je ne dirais rien. » enchaîna la petiote, embêtée de voir sa mère lui dérouler le même discours chaque nuit.

« Je sais, Fëlicia, je sais. Alors, il était une fois … Une immense forêt qui abritait un grand secret. La forêt était protégée des méchants par un sortilège magique. Comment on faisait pour y entrer ? Eh bien, il suffisait de fermer les yeux et de prononcer : « Ultura Maestris ». Le sortilège se lèverait alors et se refermerait automatiquement. Un jour, alors que le soleil déclinait doucement dans le ciel, un jeune garçon du nom d’Armäen pénétra dans cette forêt. Il avait vu, dans son rêve, un autre petit garçon s’approcher de la barrière magique et murmurer ces mots qu’il prononça à son tour … Le sortilège se défit alors et Armäen pu entrer dans cette forêt protégée pour y découvrir le secret qu’elle cachait …. »

Karlën s’arrêta, voyant que sa fille s’était endormie. Elle sourit, replaça la couverture sur le dos de son enfant et sortit de la chambre. Ce que Fëlicia ignorait, c’est que l’histoire du jeune Armäen était racontée à un seul enfant par village, l’enfant Choisi. Cette génération, il y avait trois petits qui étaient nés à une semaine d’intervalle. Fëlicia était la plus jeune, celle qui avait été choisie pour garder le secret. Ainsi, Armäen n’était pas réel, mais tout ce qui se trouvait dans ce conte allait s’avérer réalité. Fëlicia était une enfant de confiance, sans doute, mais les Anciens du village n’avaient pu se résoudre à prendre un risque. Au baptême de la petite, ils avaient été obligés de poser un sort sur l’enfant, l’empêchant ainsi de dévoiler l’histoire d’Armäen, même si elle le voulait du plus profond de son être. Un jour, elle serait apte à tout savoir, mais ce jour, elle devrait aussi être apte à tout garder et à contrôler son esprit et ses pensées. En prévision de ce jour, Karlën soupira, posa une main sur son front. Au fond, elle était fière que sa fille ait été choisie, mais cet acte représentait bien plus que le simple fait de garder un secret …

*** *** ***

Assise sur une table de bois, à la lueur d’une lampe, Fëlicia, alors âgée de 7 ans, recopiait des textes anciens sur un parchemin, avec l’encre de sa plume d’oiseau. Son Maître lui avait demandé se travail. Elle avait apprit à lire, à écrire, à parler et à écouter. Ces Arts étaient fondamentaux, mais ce n’étaient pas les seuls que la petite fille devait connaître. Elle savait guérir, par l’apprentissage de ses parents. Elle savait manier un bâton, plus tard, peut-être, une épée et, par-dessus tout, son Maître lui apprit la magie. Pas toutes les magies, cela allait de soi, mais elle étudiait l’art des Illusions, sont Maître étant spécialisé là-dedans. Le vieil homme qui prenait en charge Fëlicia n’était autre que celui qui l’avait baptisée, 7 années auparavant. Ainsi, il veillait, par la même occasion, au développement de la fillette. Ses parents n’étaient pas contre mais, même s’ils l’avaient été, ils n’auraient rien pu faire. Les règles étaient les règles, on ne pouvait discuter sur les décisions des Anciens.

*** *** ***

Cette huitième année allait être la pire de la vie de cet enfant. Malheureusement, elle l’ignorait encore, ce matin même, elle s’était levée de bonheur pour aller lire la suite du nouvel ouvrage que lui avait donné son Maître. Elle aimait apprendre, ne s’en lassait jamais et même si sa lecture était un peu massacrée, elle faisait chaque jour des progrès.

Ce soir-là, la fumée noire flottait dans les cieux. Fëlicia s’approchait de la fenêtre pour observer ce qui se passait. Un affreux spectacle, sans aucun doute. Les gens du village - qu’elle appréciait plutôt bien, des amis, des connaissances, des patients de ses parents – étaient envahis par la fumée. Mais pas seulement. Des monstres, répugnants, grands, barbares saccageaient tout sur leur passage. Horrifiée, la petiote se mit à pleurer, c’est alors que sa mère entra dans la maison comme une furie, accompagnée du Maître de Fëlicia. Les yeux cloués sur une silhouette qui lui était trop bien connue, la jeunette ne pu s’échapper à la vision terrible qui venait de survenir. Les larmes coulaient sur ses joues car, au sol, son père perdait son sang, combattant les monstres du mieux qu’il pouvait, perdant la bataille, cela dit. Karlën l’arracha à cette affreuse contemplation, la fit passer sous les latte de la chambre et lui murmura quelques mots qui resteraient à jamais gravé dans sa mémoire :

« Ma puce, souviens-toi de l’histoire que je te racontais quand tu étais petite. Tu sais, celle d’Armëan ? » La fillette hocha la tête, soudainement prise de panique, alors que sa mère lui somma de rester le plus calme possible et de ne faire aucun bruit. « Je veux que tu fasses comme lui, Fëlicia. Va dans la forêt, la notre est comme la sienne. Prends soin du secret, ma chérie. Et, tu te souviens, tu ne dois en parler à personne, c’est d’accord ? » encore une fois, Fëlicia hocha la tête, pleurant, voyant la peur de sa mère dans ses yeux, ne comprenant pas ce qu’il se passait, ignorant tout de cette histoire qui pourtant serait la sienne. « Je t’aime, mon cœur. »

Ce fut les derniers mots que la mère prononça, caressant la joue de sa fille, refermant la latte de bois pour protéger son enfant si précieux. Le Maître parla à son tour, des mots plus froids, plus contenus, dans un langage qu’elle ne comprenait pas, qu’elle n’avait même, jamais entendu. Elle ignorerait toujours ce qu’avait voulu dire son Maître. Mais, les cris d’effrois qui retentir lui firent plaquer les mains sur ses petites oreilles. Pleurant, elle n’émettait pourtant aucun bruit, comme le lui avait ordonné sa mère. Voici les images horribles qu’une fillette de 8 ans avait été dans l’obligation de voir et qui resteraient gravées en elle jusqu’à la fin de son existence.

*** *** ***

Pendant les neuf années qui suivirent, Fëlicia ne s’est jamais repentie de sa peine. Elle souffre, encore aujourd’hui, mais cette douleur fut apaisée au fil du temps. Comme Armäen avant elle, la demoiselle trouva le secret de la forêt, le secret de tout son village qui pesait désormais sur ses épaules. Elle ne retourna jamais au village, sa cicatrice se rouvrait à chaque fois qu’elle y pensait, alors, y remettre les pieds. Elle avait prit en réserve les objets qui n’avaient pas brûlés, peu de chose, cela allait de soi : Son tout premier livre, sur l’art des Illusions, des affaires de sa mère, quelques vêtements pas en trop mauvais état. Et cela s’arrêtait là. Pendant neuf ans, donc, elle vécu seule. Chaque jour, pourtant, elle étudiait les arts que lui avaient apprit son Maître et ses parents. Elle veillait sur le secret avec une passion étrange. Onze œufs de dragons lui appartenaient désormais. Je ne sais si le mot « fière » est réellement celui que j’aurai utilisé … Quoiqu’il en soit, Fëlicia ne se départi pas de sa tâche qu’elle mena à bien du mieux qu’elle pu.

En neuf ans, elle prit soin de six dragons et quatre dragonnes. Le plus vieux et le plus protecteur était sans doute Kalek, qui veillait sur tous comme l’aurait fait un père. Au bout de cette neuvième année, Fëlicia senti qu’il était tant que les laisser partir. La séparation fut rude, atroce. Encore. Après avoir perdu un village, voilà qu’elle se forçait à faire partir sa seule famille. Il lui restait pourtant un œuf qu’elle gardait avec elle, précieusement. Elle avait apprit à communiquer avec ses dragons, à les voir réagir, bouger, grandir. Elle les connaissait tout autant qu’eux la connaissaient. Et, même si certains étaient distants ou récalcitrant, elle n’eut pas tellement de mal à les élever, bien qu’elle du le faire à sa manière, étant donné qu’elle n’avait pas tellement idée de comment élever un dragonneau. Pourtant, aujourd’hui, ils sont tous devenus beaux, grands, sauvages …

*** *** ***

Son admission à Maelthra Magthere ne date pas de très longtemps. Un soir, alors qu’elle passait en moment avec Kalek qui était repassé la voir, comme souvent, d’ailleurs, une étrange personne avait apparemment réussit à déceler la forêt. Paniquée, Fëlicia tenta de se cacher. Bien vite, elle se rendit compte que l’homme qui était arrivé n’avait rien de malfaisant. Lui aussi possédait un dragon et, on ignore encore comment, il réussit à gagner la confiance de la demoiselle, celle de Kalek et de toute la troupe aussi, d’ailleurs. Aaron venait voir la jeune fille tous les deux jours et, trois ou quatre mois plus tard, il apparu avec une lettre, encore cachetée. Ils la lurent ensemble et découvrirent alors que Fëlicia avait été admise dans une école de dragonniers. Au départ, la demoiselle refusa illico de mettre les pieds dans un lieu qui ne lui disait rien. Finalement, Aaron réussi à la persuader que cela valait mieux que de rester ici, seule. Il lui fit une promesse, la contraignant à accepter, il viendrait lui rendre visite le plus possible et, si elle ne supportait vraiment plus son environnement, elle serait à même de rentrer. C’est donc, cédant de justesse, que la demoiselle prit ses minces affaires et son dernier œuf, et, en compagnie de son seul ami humain, se dirigea vers sa nouvelle demeure.

• Famille : Pour tout vous dire, Fëlicia n’a plus de famille. Avant le massacre, elle avait un père, une mère, et tout un village qui l’appréciait énormément. Depuis, elle se retrouve sans rien, sauf son trésor précieux, ces œufs qui, désormais, lui revenaient, pour l’honneur de son village, pour le secret qu’elle était tenue de garder. Sa seule famille, qui est également partie, aujourd’hui, se trouve en la présence de dix dragons qu’elle a vu grandir et qu’elle a élevé : Sinra, Elyön, Saeros, Gwenn, Orio, Galba, Dirnus, Al’batir, Brasua et Kalek.

• Liens : Aucun.

III - CARACTÈRE

• Caractère Général :

Une jeune fille timide avec les garçons. En effet, Fëlicia a du mal à arborer un comportement que nous appellerons normal avec les personnes de type masculin. N’ayant pas spécialement l’habitude d’en fréquenter, elle se retrouver très vite gênée. Au contraire de certaines personnes, elle n’exprime pas sa gêne dans l’immédiat, il lui faut tout de même le temps d’essayer de prononcer une phrase complète. L’ennui, justement, c’est qu’elle n’y arrive pas ou alors, avec une extrême rareté – ce qui explique pourquoi elle n’a pas énormément d’amis masculins. Donc, en gros, cette demoiselle bloque totalement, n’arrive pas à former une phrase correcte, se gêne et s’empourpre, ce qui ne fait qu’augmenter sa détresse. Plus tard, elle remarquera que sa dragonne comprend bien ce subtil détail, et que ceci débouchera même sur un certain côté vicieux de sa part, détestant apparemment voir sa dragonnière dans cet état.

La discrétion est un art, sans aucun doute. Et, laissez-moi vous dire que cet art, Fëlicia le connaît sur le bout des doigts. En effet, discrète, elle s’efface même parfois. Traîner dans un couloir ou un lieu empli de monde et de brouhaha ? Jamais. C’est tout simplement contre nature. On ne force pas un troll à voler, et bien, c’était tout aussi logique pour Fëlicia et son esprit discret. Elle préférera sans aucun doute un coin isolé, où peu de monde passe. Ainsi, elle peu méditer, et dans le calme, qui plus est. Car, en effet, cette demoiselle a un amour passionnel pour le calme et les endroits tranquilles. D’ailleurs, elle aime aussi la nature, la forêt, étant très proche de cette dernière pour y avoir passé bon nombre d’années.
Dans une conversation à plusieurs, elle a tendance à s’éclipser vite fait. Ou alors, elle reste, assise avec les concernés, sans placer un mot. Elle écoute, cela dit, intelligente, elle sait écouter et retenir. Ainsi, elle absorbera des éléments qui pourraient s’avérer bêtes, futiles et elle les ressortira sans doute au bon moment.

Un cœur d’or, c’est une vertu, vous pouvez en être sûrs. Oui, Fëlicia est quelqu’un qui a un grand cœur. Une fois qu’on l’a connaît, cette évidence nous saute aux yeux et nous fait presque sourire. Mais, c’est vrai que quand on se base sur des préjugés, on a tendance à penser qu’elle est folle, pas normale, différente, bref, qu’elle ne vient pas du même monde que nous. Dans un sens, ce n’est pas totalement faux. Ayant vécu dans la solitude – ou la presque solitude, mais, comme elle ne côtoyait plus les humains, cela revient à peu près au même – cette demoiselle vit, comme on pourrait le croire, dans un autre monde. Ceci n’est pas à prendre au sens péjoratif du terme, elle est tout à fait normale, elle a simplement des conceptions du monde réel un peu différentes des autres. Ceci en fait une personne intrigante qui n’en reste pas moins charmante. C’est vrai, il est dur de gagner son amitié, mais une fois que nous l’avons, elle est fidèle et adorable, prête à tout pour aider ceux qu’elle aime. Au fond, elle a sans aucun doute de perdre des êtres chers, encore. C’est pourquoi elle a tendance à marquer une certaine distance entre les autres et elle-même.

Une enfant mise à l’écart. On ignore pourquoi, elle non plus ne comprend pas et pourtant, c’est la dure réalité. Avec ses parents, pourtant, tout allait bien, elle était une enfant aimée, chérie. Et puis, la vie ne lui a plus jamais fait un tel présent. En effet, désormais, elle fut condamnée à être seule. Et, même une fois à l’école, elle fut mise à l’écart. Oh, cela va sans dire qu’elle n’était pas irresponsable de ceci. Mais, d’un autre côté, ce n’était pas tant de sa faute. Il lui arrive, encore aujourd’hui d’effrayer certainement les autres. Pourtant, elle n’est pas laide, physiquement et ne fait pas réellement peur. Mais, voilà, il y a des choses inexpliquée et tout bonnement inexplicable, ceci en fait partie, sans aucun doute. Elle se contentera de vivre comme elle l’a toujours vécu. Peut-être qu’un jour, tout ceci redeviendra normal, qu’elle réussira à se faire des amis. Oui, sans doute. Elle n’a pas mauvais fond, ça, c’est sûr.

Pourtant pas asociale pour un sou. Comme peut-être involontairement mentionné, cette demoiselle n’est pas du genre asociale. Oui, elle est méfiante, dans son monde, timide, étrange, parfois. Mais, elle n’en est pas pour autant quelqu’un de froid et de distant, qui tient absolument et par tous les moyens à rester dans sa cage de verre, éloignée de tout le monde. Passer dans cette école est un immense changement pour elle, cela est quelque chose d’indéniable, mais il faut qu’elle s’y habitue, chose qu’elle ferra aussi, sans aucun doute. Bref, cela pour dire qu’elle ne refuse pas une amitié qui est méritée, mais, autant les autres feront des efforts, autant elle est également capable d’en fournir à son tour. C’est donc donnant-donnant, rien ne se perd au change et tout est égal.

Une sensibilité qui découle d’un lourd passé. En effet, Fëlicia n’a pas eu un passé facile. Elle a surmonté les épreuves de la vie on ne sait trop comment. Mais, finalement, il est indispensable de dire qu’elle est dotée d’un courage sans faille, bien qu’elle montre souvent le contraire. Malheureusement, les douleurs passées ont laissé des traces profondément encrées et qui ne s’effaceront jamais. Parmi elles, une sensibilité assez phénoménale qu’elle continent généralement assez bien mais qui n’est pas toujours facile à canaliser et qu’il lui arrive de lâche, sans même en avoir envie. Ainsi, il lui arrive de fondre en larme alors que nous n’avions prononcé qu’un simple mot. Mais ce mot, en question, provoque chez elle, tout une série d’images, sans doute aussi, douloureuses les unes que les autres et, à partir de là, elle ne peut certainement pas retenir ses larmes. Il lui arrive donc de pleurer alors qu’on en ignore la raison, par exemple. Même chose pour de subites réactions. Bien qu’elle ne soit pas vraiment impulsive, il lui arrive de se comporter de manière étrange à la prononciation d’un simple son.

En conclusion, je résumerai que Fëlicia est quelqu’un de tout à fait fréquentable, mais il lui faut du temps, beaucoup de temps, pour s’habituer et faire confiance. Chacun ses problèmes, n’est-ce pas ?

• Ce qu'il/elle n'aime pas : Elle a horreur du bruit trop fort. En effet, habituée au calme le plus paisible, il ne lui est pas toujours facile d’entendre tout ce monde brailler à ses oreilles. Elle n’aime pas non plus qu’on l’a harcèle de questions, elle préfère s’en tenir à ce que chacun sait. Elle n’aime pas, cependant être rejetée des autres, chose qu’elle trouve vraiment méchante car il la juge sans réellement la connaître. D’ailleurs, elle ne peut pas supporter les préjugés et les évite au maximum.

• Ce qu'il/elle aime : Elle aime le calme, la solitude, sans doute. Elle aimait aussi énormément ses dragons, ses seuls amis, si l’on pouvait dire. Elle a passé sa vie avec eux et, évidemment, ce fut dur de les voir partir. Elle aime réfléchir, penser et apprendre. Discrète, cela dit, elle aime à le rester. Elle préfère qu’on l’oublie, parfois, que d’être le centre d’attention. Question d’habitude, sans doute …

• Qualités : Fëlicia est quelqu’un de gentil, doux, attentif. Elle sait se mettre à disposition de ses amis, ses vrais amis. Mieux, elle serait prête à tout pour eux. Mais un tel dévouement ne se fait pas en deux minutes chrono. Cela prend du temps, évidemment. Cette demoiselle se montre sous son meilleur jour, du moins, elle essaie. Non pas que son apparence compte, mais elle tente de ne pas trop se laisser aller devant les autres. Seulement, parfois les sentiments sont plus forts que tout …

• Défauts : Elle est timide, affreusement timide, surtout envers les garçons. Elle a du mal à aligner plus de trois phrases en présence de l’un d’eux, bien qu’elle ne soit pas du genre à s’amouracher à droite, à gauche. Fëlicia est discrète et elle a presque tendance à être effacée. C’est quelqu’un de solitaire, pas asociale mais elle a de la peine à accorder son amitié directement, au premier discourt. Ces choses-là prennent du temps. Elle est aussi très sensible, ce qui pourrait être un avantage, mais pas toujours car elle a tout de même un peu de mal à cacher cette sensibilité.

• Tic : Baisser les yeux lorsqu’elle est gênée est une habitude si envahissante qu’on pourrait presque appeler ça un tic.

IV - PHYSIQUE

• Physique Général : Ce que nous repérons en tout premier lieu, chez cette demoiselle, est sans aucun doute sa couleur de cheveux. D’un roux virant beaucoup sur le rouge – cette teinte est communément appelée acajou, si je ne m’abuse – il est vrai que Fëlicia ne passe pas inaperçu. Mais, voilà, son physique n’est de loin pas un complexe, pour elle et la couleur de ses cheveux lui importe vraiment peu. D’ailleurs, à cette époque, qui donc se préoccupe de la couleur des cheveux d’autrui ?

Ses yeux, quand à eux sont d’un bleu assez profond. Il s’y cache quelque chose d’étrange, on aurait presque envie d’y rester, de nager continuellement dans le paradis bleu de son regard. Mais, malheureusement, l’étrangeté est de courte durée, surtout si vous faites l’erreur – si on peut appeler cela comme ceci – de la complimenter (surtout sur son physique), la demoiselle va inévitablement baisser les yeux et vous pourrez dire adieu à votre paradis azur. Tiens, cela me fais penser qu’il faut que j’intervienne d’ailleurs sur un point assez évident : Si baisser le regard constamment peut-être gênant, Fëlicia a une nette tendance à virer au rouge tomate alors qu’elle regarde le sol, ressassant les paroles précédentes. Justement, tant qu’elle regarde parterre, tout va bien, mais elle a du mal à relever la tête avant un bon moment …

Bref, notre demoiselle timide possède une taille plutôt … Dans la norme, dirons-nous. Elle n’est pas une géante, elle n’est pas miniature non plus. De longues jambes, fines, un bassin étroit et pas trop développé, un ventre bien taillé, des épaules assez fortes, tout en restant modéré et des bras qui, à force d’exercice, sont devenus plus puissants qu’ils ne le laissent voir. En somme, elle n’est pas si affreuse que cela, bien au contraire.

Son visage est fin, bien dessiné, aux traits pointilleux, comme lorsqu’un artiste s’acharne sur les détails minutieux de sa toile. Un nez fin, droit est au milieu d’un visage aux traits encore mi-enfantin, mi-adulte. On a de la peine a se situer en la regardant. Elle n’est pas un top model, mais, disons qu’elle est jolie. Cela dit, il n’est pas dans ses habitudes de s’en vanter, que cela soit comprit …

• Signe Particulier : Aucun, il me semble.

• Vêtements : Cette demoiselle a du apprendre a vivre avec ce qui lui restait. C'est-à-dire, presque rien. Ainsi, elle se faisait ses propres vêtements qui n’étaient guère somptueux, il en est évident. Vivant dans la forêt, elle avait besoin de pouvoir bouger, ainsi, elle a entreprit de prendre en stock des pantalons de cuire, résistant et souple à la fois. Le haut de son corps est couvert par un humble morceau de tissus qui, en été lui laisse les bras à découvert et, en hiver les protége du froid, du mieux qu’il peut, du moins.

Bref, vous l’avez comprit, ce n’est pas la grande classe. De ce côté-là, Fëlicia illustre parfaitement le proverbe « on fait avec ce qu’on a ». Elle a, en réserve, une et une seule robe qui, bien évidemment, appartenait à sa mère, qu’elle aime énormément et qu’elle chérit par-dessus tout. Elle ne la mets que pour de grandes occasions, autant dire : Pratiquement jamais. Cela consiste en les seuls vêtements qu’elle a et elle s’y tient parfaitement.

• Images : [ x ]

• Taille : 1m73, environ.

• Poids : 51 kilos, environ.

V - PRESENTATION DU DRAGON

• Nom : Faeliss

• Physique : Cette dragonne a un corps plutôt fin, ce qui lui permet d’être rapide et agile, dans les airs. Mais, ne sous-estimer pas sa force, bien qu’elle ne soit pas une grande guerrière, sa puissance magique – du moins, une fois totalement développée – pourra sans doute en impressionner plus d’un. Elle est dotée de deux grandes ailes, deux pattes avant et deux pattes arrière. Blanche, la dragonne arbore pourtant quelques marques rouges sur son corps. Ainsi, on peut la qualifier de « blanche et rouge », étant donné la couleur de son pelage. Une tête cornée et plutôt fine, avec un museau pointu et peint de rouge ainsi que des yeux noirs entourés de poils rouges également, font qu’elle n’a pas l’air bien méchante. Elle possède aussi une longue queue qui lui sert de gouvernail, si l’on peut dire et qu’elle utilise pour garder son équilibre. Faeliss est un peu maladroite, surtout avec ses grandes ailes et elle a parfois du mal à garder son équilibre, justement, ce qui peut mener à de petites catastrophes.

Autre chose, vous avez sans doute remarqué que je n’ai pas parlé d’écailles, mais de poil ? Ce n’était pas une erreur de ma part. Faeliss est réellement doté d’un pelage, des écailles recouvrant seulement son ventre – tout aussi blanc que le reste de son corps, en passant. Cela dit, elle a bel et bien l’apparence d’un dragon – bien que ce côté touffu et doux lui donne un air de peluche (croyez-moi, ces crocs ne ressemblent pas tellement à ceux d’une peluche, par contre). La dragonne ne s’en sent vraiment pas complexée, je crois qu’elle s’en fiche légèrement, en fait … Ses ailes sont faites d’une membrane assez fine, point faible, malheureusement, de tous les dragons. Ses griffes acérées et ses crocs blancs, pointus, en dissuaderait plus d’un d’approcher, lorsqu’elle se fait menaçante, vicieuse. En effet, Faeliss peut avoir l’air de joujou mignon, mais elle peut aussi avoir l’air sauvage de sa race.

• Caractère : Cette dragonne n’a vraiment pas mauvais fond. Seulement, elle peut en donner l’impression. Elle a du mal avec les garçons, pour la simple et bonne raison que sa dragonnière est mal à l’aise en leur présence. Ainsi, la fine dragonne prend la défense de la demoiselle et devient méfiante, vicieuse, souvent. Elle a tendance à chercher les points faibles … Mais, cela ne veut pas dire qu’elle a se comportement tout le temps. Avec les jeunes filles, par exemple, elle est distante mais elle n’est pas méchante et ne cherche pas à les déstabiliser. Comme Fëlicia, elle a horreur des conflits et préfère largement les éviter, ce qui l’arrange parfaitement, en fin de compte, puisqu’elle n’est pas non plus faite pour combattre avec ce que lui a donné la nature, en dehors de sa magie – c'est-à-dire ces crocs et ses pattes – et elle préfère donc s’en tenir aux mots.

Avec les autres dragons, elle est …sympathique, dirons-nous, gardant néanmoins une certaine tension quand elle ne les connaît pas, ou très peu. Avec Fëlicia, la relation change totalement. Elle l’aime énormément, cela à n’en pas douter. Même toute petite, la dragonne n’a pas eu de mal à s’habituer à la jeune fille, ressentant peut-être son aura positive, qui sait ? Enfin, elle n’a jamais été méchante avec elle, même au contraire. Souvent surprotectrice, il lui arrive d’être rapidement exaspérée. Faeliss recherche constamment une attention physique, parfois même, un simple regard attentif lui suffit. Elle n’aime pas vraiment être le centre d’attention, mais il lui faut toujours savoir qu’elle existe. Au fil du temps, Fëlicia aura apprit à donner régulièrement une douce caresse à sa partenaire. Et puis, ce sera un amour réciproque qui grandira entre-elles, aucun doute là-dessus.

• Signes Particuliers : Cette dragonne n’est pas entièrement recouverte d’écailles – bien qu’une carapace la protège (sur le ventre et tous son corps, mais sous ses poils), évidemment – son aspect premier est qu’elle est aussi poilue qu’une peluche.

• Images : [ x ]

VI - AUTRES

• Quelques attaques de magie : Eh bien, ce qui ressort le plus, lorsque la jeune fille doit se battre avec la magie c’est une forte tension. En effet, elle a une sainte horreur de la guerre, des batailles qu’elle trouve futile alors qu’on peut de toute manière, s’arranger autrement. Enfin, c’est son avis. Cela dit, est c’est tout ce qu’il y a de plus logique, finalement, on ne peut toujours éviter la guerre. Etant donné qu’un combat à mains nues la désavantagerait fortement, elle a découvert une faculté très étrange

• Objets en sa possession : Fëlicia a en sa possession une étrange boussole dont les aiguillons s’agitent en toute direction lorsqu’un danger est proche. En tournant, les aiguilles de l’objet émettent un petit bruit strident et plutôt désagréable à l’oreille. Lorsque l’or blanc est proche de l’objet, celui-ci démontre de drôles de réactions et s’agite pour rien, pouvant alors, enduire la demoiselle en erreur.

• Animaux de compagnie : Aucun.

• Autre : Elle possède un médaillon qu’elle porte autour du cou et qu’elle ne quitte jamais, cadeau de sa mère.

VII - HORS PERSONNAGE

• CODE du Règlement : OK

• En inscrivant "oui" ici vous vous engagez à respecter le règlement : OUI !

• Comment trouvez-vous le Design ? : Très beau ! ^^

• Comment avez-vous connu le Forum ? : Je suis Elaryan, sur SDA. Maelthra Magthere est en partenariat avec le Silence Des Arcanes ^^

• Précisions : Fëlicia, à la base est un personnage pré-défini [ Sa fiche de base ]. Ainsi, si vous trouvez que la fiche que je lui ai faite n'est pas à la hauteur du personnage et que vous vous opposez à ce que je l'incarne, je comprendrais. ^^

Wow ! Je suppose que tu as terminé !

Fiche gigentesque !

En tout cas bienvenue !!

J'ai terminé, effectivement =)
Huw, c'est vrai que j'suis assez contente de la fiche, mais peut-être que les admins s'opposerons à ce que j'aie le perso (vu que c'est un pré-déf)

Merci à toi, Himasaico ^^
(Wui, wui, j'arrête de flooder, je vais me faire taper sur les doigts xD)

Impressionant

Bienvenue en tout cas, et je ne pense pas que les admins te refuseront! Après tout, les personnages prédéfinis sont faits pour être incarnés

Eh bien, en fait, je ne pensait pas que les PP seraient si vite incarnés. ^^'
(Punaise faudra encore que j'en créer! XD) Mais bienvenue tout de même, hein! XD C'est une très belle présentation. Cependant, euh... il faut que tu saches que ce ne sont pas les fondateurs qui envoient des lettres d'admission, ce sont ceux qui veulent être élève de l'école qui envoient une lettre de demande d'inscription. Enfin, c'était juste pour le dire car j'avais compris, ou du moins je n'avais pas vue, si c'était une lettre qui était arrivé comme ça, sans rien, sans demandes auparavant ou si il y en avait eu une. Voila, sinon c'est tout bon! =)

Magnifique !! Comme je m'y attendais en fait !

Bravo bravo bravo, alors bienvenue j'ai déjà dit par Mp... Qu'est ce que je pourais dire d'autre ? ^^
Bah vas-y tu peus poster ou tu veux !

Merciw à toute les trois ! ^^

Quasha => En fait, Aaron a envoyé la lettre en postant la candidature de Fëlicia, sorry si c'était pas compréhensible, moi je le voyais comme ça (C'est vrai que, maintenant que tu le dis, il me semble avoir oublié de le préciser xD). Et il a donc reçu la réponse de l'école, en retour, évidemment. ^^

Nymphalis => Huw, merci En effet, je crois que tout a été dit par MP ^^ Je vais m'empresser d'aller poster, donc !

Merci encore =)

Oui et pour le sunom je dirais lili ! C'est chou non ?

Bienvenue à toi^^
Pour le truc de admin qui s'oppose, jamais de la vie, trop jolie fiche ^^

JE suis certain que tu joueras très bien^^

Bonne chance^^

Lili? Fëa ça le fait plus XD

[Zavez vu?tous les surnoms que je donne sont adoptés XD [Nymphi,Lilice,Cara,Sai etc XD]

Oui mais Lili c'est plus mignon !Nah ! ^^

Lili ça ressemble trop à Lilice Nymphi >_<

*BAAF*

M'enfin, pour moi ce sera Fëa ^^

Mwa je préfère Fëa ! Ou même Fëalinou !

T_T Naaan, vous battez pas pour savoir quel surnom j'aurai xD
Bah mouwa, je m'accomode à tout, hein =)

Nio *hallucine* xD
Vous floooodez sur mon pic, là ? (Et mouwa qui m'efforçais de pas répondre pour ne pas flooder xD)

Oui mais moua c'est normale, je suis floodeuse professionnelle ! ^^ Et encore, sur Maelthra Magthere, vous n'avez pas vu de quoi je suis capable ! MOUHAHAHAHAHA x) *rire démoniaque*

Ne t'inquiète pas, je dis stop !
Plus personne ne post ici !!!! Grrr

J'ai mit un chien de garde :
Enfin... J'ai pas trouvé mieux comme chien ! ^^'

Ah il est beau ton chien de garde ! Tu crois qu'il va servir à que...

- AÏE !! NON, ARRETE !! PAS MA JAMBE ! NOOOON !


Okay je sors... => []